Selon certains médias électroniques, deux femmes auraient subi des violences de la part du commandant de la gendarmerie royale à Sidi Hajjaj lors d’une intervention le 26 Octobre dernier

« La province de Settat a fait savoir qu’aucune personne n’a été transférée ou ne s’est présentée aux centres de santé lors de cette journée où les forces de l’ordre sont intervenues dans un différend sur une terre agricole entre la population de douar El Birat et une coopérative », indique un communiqué de la province.

Le communiqué ajoute que « l’opération de maintien de l'ordre a été menée par les services de sécurité, dont la gendarmerie royale, sous la supervision du parquet, afin d’éviter les violentes confrontations qui opposent les deux parties au début de chaque saison de labour. » 

Les deux femmes, Roukaya El Fessahi et Aida Zahri, qui avaient prétendu avoir été violentées par le commandant du centre de la gendarmerie royale, auraient déposé une plainte seulement sept jours après l’intervention des forces de l’ordre, précise le communiqué. Par ailleurs, le parquet a ordonné  l'ouverture d'une enquête et la prise de toutes les mesures nécessaires conformément à la loi et à la lumière des résultats de cette enquête.