Prendre le temps de perdre du temps

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Les pantouflards du weekend seraient ceux qui bénéficieront d’une bonne santé, et nous, les millennials avons certainement bien fait de vivre un petit peu quand même coupés du monde, chez nous, occupés sur nos téléphones portables

Le nesting, le cocooning, ne rien faire en restant chez soi, c’est de nouveau à la mode. Dans les années 80 ou 90, la tendance était de sortir dans les endroits branchés le weekend, et fêter tout et rien dans des soirées bien arrosées.

Aujourd’hui, les découvertes scientifiques prouvent qu’il y a du bon dans le farniente, pour que nos cellules et nos organes se régénèrent. Pour arriver à trouver son point d’équilibre, il suffirait de prendre le temps de ne rien faire, en restant chez soi- Pour se retrouver, mieux se connaître et être loin du stress et du bruit du quotidien (le week-end en tout cas).

Nos parents auront raison sur nous, il faut l’avouer ! D’ors et déjà, les pantouflards du weekend seraient ceux qui bénéficieront d’une bonne santé, et nous, les millennials avons certainement bien fait de vivre un petit peu quand même coupés du monde, chez nous, occupés sur nos téléphones portables.

Ajoutons tout de même que cellulaires ou pas, il faut essayer tout de même de prendre un bon livre ou un magazine et se distancer réellement des préoccupations, des opinions, des réseaux sociaux, des us du quotidien trop envahissants.

Tant pis pour l’enjouement d’une bonne sortie le weekend, puisque, de toutes les manières, ce n’est même plus « in ».

Ce qui est conseillé, et qui est bon pour le moral et la santé, ce sont les activités liées à la déco, le jardinage, le bricolage, bref, s’occuper de soi et de son intérieur. Peut-être même que le confort réside dans l’esprit d’un chez soi lumineux, avec un maximum de couleurs clairs et d’endroits chaleureux, porteur de bonnes énergies.

En tout cas, force est de constater que la tendance est dans l’équilibre des énergies naturelles, et que ce n’est là qu’une continuité à une ère qui se veut être l’ère d’une consommation d’un nouveau genre.

 

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