Rabat abrite une rencontre internationale sur la formation en gestion et politique culturelle

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« Plateforme régionale sur l'enseignement supérieur : Formation en gestion et politique culturelle » est le thème d'une rencontre internationale qui aura lieu du 25 au 27 avril à Rabat.

Cet évènement international organisé par la faculté des Lettres et Sciences Humaines relevant de l'université Mohammed V de Rabat et MedCulture-Medmedia connaitra la participation de plus de 35 chercheurs de différents pays du pourtour méditerranéen (France, Italie, Turquie, Maroc, Algérie, Egypte, Jordanie, Palestine, Syrie, Liban et la Tunisie) ainsi que des représentants de ministères, d’universitaires et d’opérateurs culturels, indique un communiqué de l'Université.

Cette rencontre internationale ambitionne l'établissement d'une plateforme régionale pour les échanges, la mise en réseau, la création de partenariats et la mobilité des étudiants, des chercheurs et des enseignants dans la région et la mise en place de recommandations concrètes pour de nouveaux programmes et produits correspondant aux normes actuelles et répondant plus efficacement aux exigences du marché.

Il s'agit également de la mise en avant de recommandations concrètes visant à mettre l'accent sur des initiatives de formation culturelles et artistiques pour les jeunes et les enfants et la création d'une communauté de pratique étendue, rassemblant des formateurs, des décideurs et des professionnels au service de la professionnalisation du domaine culturel ainsi que l’établissement d’une plateforme régionale ayant pour objectif l'amélioration de l'engagement des médias et l'échange d'informations.

Selon le communiqué, cette plateforme régionale s’inscrit dans une action plus large : l'enseignement supérieur, la formation professionnelle et la formation permanente dans le domaine des disciplines et politiques artistiques, des politiques et de la gestion culturelle, dont la certification, et leurs impacts sur l'employabilité.  Cette action comprend plusieurs activités et vise principalement des représentants des ministères, mais aussi des universitaires et des opérateurs culturels expérimentés dans ce domaine et d'autres qui représentent la jeune génération, souligne la même source.

 

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