Les allégations de RSF sur des violations de la liberté de la presse à Al-Hoceima infondées

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On ne peut pas dire que le ministère ait tort. Il suffit à RSF qui est une association française par excellence de regarde France 24, dont pourtant la malhonnêteté a été démontrée contraignant la chaine à s’excuser, pour se rendre compte que ses déclarations sont loin de la réalité te de la vérité

Reporters Sans Frontières (RSF) vient d’être épinglé par le ministère de la communication marocain. Les allégations RSF concernant de présumées violations de la liberté de presse en lien avec la couverture médiatique de la situation à Al-Hoceima sont infondées et manquent de crédibilité et de preuves, déplore le ministère de la Culture et de la Communication.

Dans un communiqué, le ministère souligne avoir reçu, avec un grand étonnement, les déclarations émanant de RSF concernant de présumées violations de la liberté de presse en lien avec la couverture médiatique de la situation dans la ville d’Al-Hoceima.

Il rappelle à cet effet que les envoyés des différents médias nationaux, ainsi que les correspondants de la presse étrangère accréditée au Maroc, exercent sur l’ensemble du territoire national en toute liberté et dans des conditions normales, conformément aux dispositions et règlements juridiques régissant et encadrant le métier du journalisme au Maroc", ajoute le communiqué.

Le ministère rappelle également que 89 correspondants de la presse étrangère accrédités au Maroc disposent de toutes les autorisations qui leur ont été délivrées par les services compétents au ministère, afin de leur permettre de s’acquitter, dans des conditions normales, de leurs missions dans l'ensemble du pays.

Et on ne peut pas dire que le ministère ait tort. Il suffit à RSF qui est une association française par excellence de regarde France 24, dont pourtant la malhonnêteté a été démontrée contraignant la chaine à s’excuser, pour se rendre compte que ses déclarations sont loin de la réalité te de la vérité.    

Afin d’élucider la vérité, poursuit le communiqué, le ministère de la Culture et de la Communication tient à souligner qu’à l'exception d’un seul cas où une personne détentrice d'une carte de presse professionnelle a été poursuivie conformément à la loi pour "incitation d'individus à commettre des délits et appel à participer à une manifestation interdite", toute déclaration au sujet d'arrestation ou de poursuite présumées d'autres personnes en leur qualité de journalistes professionnels, telle que définie par la loi 89.13 relative au Statut des journalistes professionnels au Maroc, est mensongère".

 

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