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Cette haine du Régime algérien envers le Maroc…
Personne dans le régime militaire algérien n’a su interpréter les transformations du monde et interagir politiquent avec elles
La haine envers le Maroc qui s’est emparée du régime algérien l’empêche de constater les transformations survenues sur la scène internationale et les nouveaux concepts et critères qui en découlent en matière de gestion des Etats et de leurs relations extérieures, a affirmé le chroniqueur, Talaâ Saoud Al Atlassi.
Le monde autour de l’Algérie a changé, en se dirigeant vers un nouveau positionnement de ses pays, de ses coalitions et de leur disponibilité en termes de positionnement bénéfique, a-t-il ajouté. L’auteur de l’article estime que la politique et l’économie sont les deux domaines importants dans cette nouvelle carte mondiale, soulignant qu’au moment où le régime algérien vit toujours au rythme des vieilles conceptions du monde, le Maroc accède aux chemins de l’avenir.
Cette situation, a-t-il poursuivi, fâche les généraux de l’Algérie, pays qui est exacerbé davantage à cause de son isolement par rapport à la nouvelle donne mondiale, ajoutant que le régime algérien n’a pas su faire preuve d’orientation stratégique afin de faire face à ces mutations mondiales, dans un contexte régional ayant un impact direct sur ce pays.
Dans un environnement mondial plus large donnant lieu à des transformations qui ont secoué un régime pas assez immunisé comme celui d’Alger, les évènements prouvant ces mutations mondiales se sont succédé, rappelle Saoud Al Atlassi. Il a relevé, à cet égard, que personne dans ce régime militaire n’a su interpréter ces transformations et interagir politiquent avec elles, afin de s’éviter l’isolement grave dans lequel il s’est retrouvé, alimenté par sa haine viscérale pour le Maroc.
Le chroniqueur a fait observer, par ailleurs, que le plan d’autonomie, proposé par le Maroc sur la base d’un équilibre entre la force de la légitimité nationale et la flexibilité de la realpolitik, offre l’occasion « d’un retrait honorable pour Alger » de ce conflit autour de la marocanité du Sahara, soulignant que cette initiative répond aux transformations internationales privilégient les solutions politiques aux différends régionaux. Il a relevé que l’Algérie, qui a refusé une telle sortie en continuant de nourrir l’illusion séparatiste, a été secouée par l’interaction internationale positive avec le plan d’autonomie pour le Sahara marocain, comme en témoignent les positions exprimées à ce sujet par les Etats-Unis, l’Allemagne ou dernièrement l’Espagne.
Saoud Al Atlassi a rappelé les reconnaissances du droit et de la solution du Maroc faites aussi par les Pays du Golf, l’Egypte, l’Irak, plusieurs pays africains et du Caraïbe, ainsi que la France qui a adopté la proposition marocaine et plaidé en sa faveur, des années durant, auprès du Conseil de sécurité de l’ONU. Il a estimé que d’autres pays européens sont appelés à exprimer leur soutien à l’approche marocaine pacifique pour le règlement de la question du Sahara, sachant que l’Europe s’orientera vers l’Afrique, dans le contexte des opérations militaires en Ukraine et leurs conséquences économiques. Il a rappelé la résolution adoptée, en octobre dernier, par le Conseil de sécurité de l’ONU et qui proclame solennellement le plan d’autonomie marocain comme étant la référence de l’approche mondiale vis-vis de la question du Sahara marocain.
Cette position a poussé le régime algérien dans son retranchement, confirmant ainsi la baisse de sa valeur sur la scène internationale, a-t-il conclu.