Washington, États-Unis

Des membres de la Garde nationale se reposent dans le Capitole le 13 janvier 2021, avant un vote (très) attendu de la Chambre des représentants sur la destitution du président américain Donald Trump. La Chambre des représentants des États-Unis, contrôlée par les démocrates, avait ouvert mercredi le débat sur une deuxième mise en accusation historique du président Donald Trump à la suite de l'attaque du Capitole par ses partisans, qui a fait cinq morts. Les législateurs 

(Photo : Brendan Smialowski / AFP)

Richard Barnett, un partisan du président américain Donald Trump, est assis dans le bureau de la présidente de la Chambre des représentants Nancy Pelosi alors qu'il manifestait (en signe de protestation) à l'intérieur du Capitole américain à Washington, DC, le 6 janvier 2021. Les manifestants ont violé la sécurité et sont entrés dans le Capitole alors que le Congrès débattait de la certification des votes électoraux pour l'élection présidentielle de 2020. (Photo par SAUL LOEB / AFP)

Des partisans du président américain Donald Trump, dont le membre du groupe conspirationniste QAnon Jake Angeli, alias Yellowstone Wolf (C), entrent dans le Capitole américain le 6 janvier 2021, à Washington, DC. Les manifestants ont violé la sécurité et sont entrés dans le Capitole alors que le Congrès débattait d'une certification du vote électoral pour l'élection présidentielle de 2020. (Photo : Saul LOEB / AFP)

Un nœud coulant est vu sur une potence de fortune alors que des partisans du président américain Donald Trump se rassemblent sur le côté ouest du Capitole américain à Washington DC, le 6 janvier 2021. Les partisans de Donald Trump ont pris d'assaut une session du Congrès tenue le 6 janvier, pour certifier la victoire électorale de Joe Biden, déclenchant un chaos et une violence sans précédent au cœur de la démocratie américaine et des accusations de tentative de coup d'État de la part du président. (Photo : Andrew CABALLERO-REYNOLDS / AFP)

Le leader de la majorité de la Chambre des représentants, Steny Hoyer, démocrate du Maryland, passe devant des membres de la Garde nationale à son arrivée au Capitole à Washington, DC, le 13 janvier 2021, avant un vote attendu de la Chambre sur la destitution du président américain Donald Trump. La Chambre des représentants américaine, contrôlée par les démocrates, a ouvert mercredi le débat sur une deuxième mise en accusation historique du président Donald Trump après l'attaque du Capitole par ses partisans qui a fait cinq morts. Les représentants de la chambre basse  devraient voter la mise en accusation vers 15h00 (2000 GMT) -- marquant l'ouverture officielle de la procédure contre Trump.

/ AFP / SAUL LOEB

Des partisans du président américain Donald Trump manifestent sur le National Mall, le 6 janvier 2021, à Washington, DC. Les manifestants à travers Washington protestent contre la certification des votes électoraux de l'élection présidentielle de 2020 par le Congrès américain. / AFP / MANDEL NGAN

Un partisan du président américain Donald Trump porte un drapeau des confédérés alors qu'il proteste dans la rotonde du Capitole américain, le 6 janvier 2021, à Washington, DC. Les manifestants ont violé la sécurité et sont entrés dans le Capitole alors que le Congrès débattait de la certification des votes électoraux pour l'élection présidentielle de 2020. (Photo par SAUL LOEB / AFP)

Une affiche distribuée par le FBI cherchant des informations sur les partisans violents du président américain Donald Trump, est vue affichée à un kiosque d'arrêt de bus dans une rue de Washington, DC, le 13 janvier 2021. La sédition et la conspiration devient figurer parmi les chefs d'accusation retenus contre certains des participants à l'attaque de la semaine dernière contre le Capitole américain, a déclaré le ministère de la Justice. Le procureur américain Michael Sherwin pour le district de Columbia a déclaré qu'il s'attendait à ce que des "centaines" d'affaires pénales soient déposées en rapport avec l'assaut du Capitole, le 6 janvier, par des partisans émeutiers du président Donald Trump. Steven D'Antuono, directeur par intérim du bureau local de Washington du FBI, a déclaré que le bureau avait "ouvert plus de 160 dossiers" jusqu'à présent.

/ AFP / Eric BARADAT