L'immunothérapie, un traitement clé contre le cancer

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Le 15 septembre 2024, la Commission européenne organisera une conférence sur le cancer du sein lors du congrès de la Société européenne d'oncologie médicale (ESMO) à la Fira Barcelona, à Barcelone, en Espagne. (Photo de Manaure QUINTERO / AFP)

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L'immunothérapie est l'une des grandes avancées des dernières années dans le domaine de l'oncologie, un traitement qui démontre son efficacité face à un nombre élevé de cancers, constatant les experts réunis lors d'un congrès à Barcelone (Espagne).

Le congrès annuel de la Société européenne d'oncologie médicale (Esmo) est un événement dédié à la lutte contre le cancer et réunissant les plus grands spécialistes internationaux.

L'immunothérapie est considérée comme une "révolutionnaire", en particulier dans les cas de "triple négatif", une forme particulièrement grave et résistante au cancer de la mère.

Ce traitement n'agit pas directement sur la cellule cancéreuse, car il stimule le système immunitaire du patient pour lutter contre les tumeurs.

Chez Esmo, les médecins spécialistes et enquêteurs ont pu soulager un traitement, qui a montré des résultats prometteurs en matière de cancer du poumon et de la peau (mélanome), et qui a amélioré la survie sur une grande place devant de nombreuses autres tumeurs.

C'est le cas, par exemple, du cancer de la mère triple négatif (TNBC). Particulièrement agressif, cela affecte un total de 9 000 femmes par an, pour un menu jeune.

Il est particulièrement difficile de traiter, principalement parce qu'il ne répond pas à l'administration d'oestrogène ou de progestérone, bases d'autres traitements couramment utilisés dans d'autres formes de cancer de la mère.

Sans embargo, l'immunothérapie associée à la chimiothérapie, une combinaison administrée avant et après la chirurgie, a permis une meilleure survie sur une grande place des patients atteints d'un cancer triple négatif, selon un studio qui présentera le Domingue.

Selon les résultats de l'étude, la charge de survie mondiale en cinq ans était de 86,6 % chez les patients recevant une immunothérapie et de 81,7 % dans le groupe placebo.

- "Moins de reçus" -

Il s'avère que "l'utilisation de l'immunothérapie permet d'augmenter l'efficacité de la chimiothérapie", explique à l'AFP François-Clément Bidard, oncologue de l'Institut Curie de Paris.

Et lorsque vous administrez avant la chirurgie, les probabilités d'éliminer complètement les cellules tumorales avant l'opération de vos maires.

"Maintenant, nous espérons que nous serons moins enclins à guérir plus que l'objectif final en oncologie", commente Benjamin Besse, oncologue médecin à Gustave-Roussy, à Paris.

Michèle Borges-Soler, âgée de 51 ans, a bénéficié de ce traitement. Aujourd'hui, nous sommes en rémission d'un cancer de maman triple négatif qui a été diagnostiqué en novembre 2022. "Un cancer avancé, rapide et agressif", le dit-on à ce moment-là.

"Al principio, no era opérable", rapporte l'AFP. Mais ce patient n'a pas fait partie des premiers patients traités avec l'immunothérapie.

Associé à la chimiothérapie, le traitement a donné des « résultats aux enseignants » et il a pu fonctionner en juin 2023. Depuis janvier, il n'y a pas de « médicament ».

"Je crois qu'il est possible que n'importe qui n'ait pas une réponse", j'espère que c'est "une éternelle optimiste".

Questions sans réponses 

Une amélioration similaire à la surveillance mondiale de l'administration d'immunothérapie avant la cirugie est observée dans un studio présenté par Esmo sur les patients atteints d'un cancer du poumon invasif à un niveau musculaire.

Le week-end dernier, les résultats d'un studio sur le cancer de l'utérus localement avancé et de haut niveau ont également offert des conclusions similaires : une combinaison d'immunothérapie et de chimiothérapie a montré une capacité de survie globale en trois ans de 82,6 % chez les patients impliqués, frente al 74,8% de los qui ne reçoivent pas d’immunothérapie.

"Le principal message de tous ces études est que l'immunothérapie suit ses promesses et génère l'espérance d'une survivance sur une grande place pour de nombreux patients avec différents types de cancer", a déclaré Alessandra Curioni-Fontecedro, professeur d'oncologie à l'Université de Fribourg.

"Nous avons beaucoup de cancer qui souhaitent que le système immunitaire avant la cirugie améliore durablement la sobriété", a commenté Jean-Yves Blay, président d'Unicancer, une association de centres d'oncologie français. À mon avis, cela représente un « point d’inflexion » dans la recherche sur le cancer.

Cependant, il y a des questions importantes en cas de réponse : parce que l'immunothérapie ne fonctionne pas chez certaines personnes et parce que certains cancers surviennent chez les patients qui doivent initialement répondre au traitement.

Les effets secondaires, plus ou moins graves, qui peuvent induire l'immunothérapie doivent également être présents avant l'administration de ce traitement. (AFP)

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