International
Deux cas de fièvre hémorragique en Mauritanie (ministère)
La fièvre Congo Crimée est l’une des fièvres hémorragiques les plus dangereuses parmi les fièvres connues et selon l’organisation mondiale de la santé, cette maladie est transmise à l’Homme par les tiques et par le bétail, et d’une personne à une autre par le contact avec son sang.
Nouakchott - Le ministère mauritanien de la Santé a annoncé, dimanche, avoir enregistré deux cas de fièvre hémorragique Congo-Crimée au début de ce mois de février.
Dans une circulaire, le ministère demande la vigilance et le renforcement des mesures dans tout le pays, mettant en garde contre la négligence face aux maladies contagieuses.
Le ministère de la Santé a demandé aux directeurs régionaux de la santé et aux médecins chefs à l'intérieur du pays de multiplier les mesures du suivi épidémiologique en plus de la prise d’autres mesures pour prévenir l’infiltration de tout cas de maladies infectieuses dangereuses.
La fièvre Congo Crimée est l’une des fièvres hémorragiques les plus dangereuses parmi les fièvres connues et selon l’organisation mondiale de la santé, cette maladie est transmise à l’Homme par les tiques et par le bétail, et d’une personne à une autre par le contact avec son sang.
Selon l’OMS, bien qu’elle ait apparu depuis longtemps, il n’existe aucun vaccin contre cette maladie ni pour les personnes ni pour les animaux. Son traitement se limite à faire face aux symptômes qui apparaissent sur le malade en plus d’un suivi permanent de celui-ci.
De temps à autres apparaissent des cas de cette maladie en Mauritanie et le dernier cas recensé l’a été fin octobre 2020.