Mohamed Abdennabaoui a fait des influences externes son cheval de bataille. L’autorité des procureurs est parfois soumises à des forces étrangères et le patron du parquet compte bien mettre fin à ce phénomène

Les instructions «qu'elle soit écrite ou orale et même si elle ne concerne qu'une demande d'information sur des dossiers judiciaires ou affaires portées devant les ministères publics. » devront être refusées, voici l’ordre donnée par Mohamed Abdennabaoui dans la circulaire datée du 2 janvier 2018. Il impose aussi qu’on informe directement le président.

En plus de l’indépendance des procureurs, le président du ministère public veut résoudre un autre problème majeur, l’absentéisme : "Certains responsables du ministère public quittent leurs lieux de travail pour se présenter à des réunions  et rencontres ou pour la participation à des commissions ou conférences (…), sans que la présidence du ministère public n'en soit avisée au préalable." Les responsables du ministère public devront justifier leurs déplacements.

Toujours dans une démarche de recherche d’efficacité dans l’administration publique ce comportement «affecte la marche du travail en raison de leur absence et d'autre part, porte atteinte aux règles hiérarchique des structures du parquet » ajoute le procureur général du roi.