Forbes Moyen-Orient a publié une liste des dix femmes arabes les plus puissantes au sein des gouvernements de la région. Aucune Marocaine n’en fait partie

Les dix femmes qui apparaissent dans la liste Forbes et qui constituent les plus puissantes au Moyen Orient viennent de l’Egypte, du Koweit, de l’Algérie, de la Jordanie, d’Oman, du Bahreïn, des Emirates et de la Tunisie. Le Maroc, malheureusement n’en fait pas partie.

Ce n’est pas étonnant qu’aucune femme marocaine ne figure dans cette liste dans la mesure où elles sont souvent secrétaires d’Etat dans des départements dirigés par des hommes.

Par ailleurs, la première sur cette liste est l’Emiratie Sheikha Lubna AL Qasimi, actuellement présidente de l’université Zayed et vice-présidente du conseil d’administration d’Emirates Nuclear Energy Corporation.

Il y a ensuite la ministre de l’investissement et de la coopération internationale égyptienne, la ministre de la solidarité sociale en Egypte, la ministre des affaires sociales, du travail et ministre d’Etat aux affaires économiques koweitienne, la ministre des postes, télécommunications, et digital algérienne, la ministre des technologies de l’information et de la communication et du développement du secteur public de la Jordanie, la ministre de l’éducation d’Oman, la ministre du tourisme et des antiquités jordanienne, la ministre de la santé du Bahreïn et  la ministre du tourisme et de l’artisanat tunisienne.

Le classement de Forbes se base sur le PIB de chacun de ces pays, les années d’expérience et la portée des postes attribués aux femmes.