Politique
Le PJD convoque une session extraordinaire de son conseil national le 15 septembre
Le conseil national du Parti Justice et Développement (PJD) tiendra une session extraordinaire, le 15 septembre, dans le cadre des préparatifs pour la rentrée politique
Convoquée par le secrétariat général du PJD, cette session extraordinaire intervient en prélude à une rentrée politique qui exige "une dynamique partisane nationale à même de renforcer la confiance en le processus politique", indique un communiqué du parti.
Les préparatifs à cette rentrée politique nécessitent, également, "l'évaluation de l'action du parti aux niveaux gouvernemental, parlementaire et territorial, ainsi que sur le plan interne lié à l'encadrement, la formation et la communication", affirme le communiqué, publié suite à la réunion, lundi dernier, du secrétariat général du PJD.
En outre, le secrétaire général du PJD, Saâd Eddine El Othmani, intervenant à cette occasion, a salué le contenu des discours adressés par le roi Mohammed VI à l'occasion de la fête du Trône et de l'anniversaire de la Révolution du Roi et du peuple, relatif notamment à la mise en œuvre de plusieurs projets et programmes structurels, qui auront un impact direct et positif sur la situation socio-économique.
Les membres du secrétariat général du parti ont, de leur côté, loué l'esprit positif des deux discours royaux, ainsi que la place accordée par le Souverain aux acteurs politiques qui, ont-ils noté, assument un rôle important dans les chantiers d'édification démocratique, de réforme et de lutte contre la corruption.
Concernant l'action gouvernementale, le secrétaire général du Parti a réitéré la volonté de renforcer la mobilisation pour accélérer le rythme des réformes politiques, sociales et économiques, conformément aux engagements du programme gouvernemental et dans le but d'améliorer les conditions de vie des citoyens et la qualité des services.
De même, El Othmani a informé les membres du secrétariat général sur les circonstances ayant entouré la nomination d'un nouveau ministre de l'économie et des finances et la suppression du secrétariat d’État chargé de l'Eau, rappelant les efforts consentis pour aplanir les difficultés marquant la gestion du secteur de l'eau et les actions de communication menées auprès la direction du Parti du Progrès et du Socialisme.