Présentation de ''Ainsi Disait Nadir Yata'', recueils d’éditos réalisé par Sawsane Yata

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Un "plaidoyer" pour croire en un futur plus construit et plus en phase avec lui-même (Sawsa Yata)

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Rabat - Le livre "Ainsi Disait Nadir Yata" de Sawsane Yata a été présenté mardi soir, au siège du Parti du progrès et du socialisme (PPS) à Rabat.

Edité par la Croisée des chemins, ce recueil se veut une plongée dans une vie où patriotisme et passion pour l'écriture s’entremêlent, dans une volonté de faire avancer le Maroc, au plus grand plaisir des futurs journalistes, hommes politiques, historiens, ou simples citoyens désireux de découvrir ou de redécouvrir la plume de Nadir Yata, père de Sawsane Yata.

Lors d'une conférence à l'occasion de la présentation de cet ouvrage, Mme Yata a dit avoir écrit ce recueil dans un "désir de transmission afin de perpétuer les valeurs humanistes et progressistes de Nadir Yata et les offrir aux générations actuelles et futures de citoyens marocains pour qu’ils soient conscients des prodigieux atouts de notre pays".

C’est aussi un "plaidoyer" pour croire en un futur plus construit et plus en phase avec lui-même, a affirmé l’auteur.

L’éditeur de l’ouvrage, Abdelkader Retnani, a loué le caractère avant-gardiste des réflexions et des écrits de feu Nadir Yata dans une déclaration à M24, chaîne d’information en continu de la MAP. M. Retnani a expliqué vouloir présenter ce livre pour que "cette nouvelle génération puisse comprendre quel a été le travail de ce grand journaliste disparu depuis des décennies".

Pour sa part, le Secrétaire Général du Parti du progrès et du socialisme (PPS), Mohamed Nabil Benabdallah, a tenu à saluer, dans une déclaration à la presse, l’effort mené par Sawsane Yata et par les amis du défunt pour regrouper une partie des écrits du journaliste, militant et patriote qu’il fut.

L’ouvrage "Ainsi disait Nadir Yata" est le fruit d’un travail de longue haleine sur lequel s’est penché Sawsane Yata afin de compiler un certain nombre de papiers de son défunt père, parus essentiellement dans le journal Al Bayane, qu’elle a pu consulter à la Bibliothèque Nationale de France.

 

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