??Il n?y a pas une semaine sans que l?on apprenne le suicide d?un jeune et cela doit ?tre suffisant pour nous mobiliser, tous??, explique la pr?sidente de l?association Sourire de Reda.
C?est un tabou qu?il faut briser et porter sur la place publique?: le suicide des jeunes. Si la journ?e d?hier, ?tait celle de la pr?vention nationale du suicide des jeunes, elle ne doit pas se cantonner ? 24 heures de sensibilisation dans une ann?e. C?est pourquoi, l?association Sourire de Reda milite pour que ce fl?au soit consid?r? comme un probl?me de sant? publique. Elle a lanc??la campagne de sensibilisation ? la souffrance des jeunes (notamment sur les r?seaux sociaux),?qui se d?roule du 31 janvier au 8 f?vrier avec la journ?e?
Stop au silence, le 5 f?vrier.
Sur la question, le Maroc manque cruellement de chiffres, mais cela ne freine pas Meryeme Bouzidi Laraki, pr?sidente de l?association Sourire de Reda. Selon elle, ??Au Maroc Sourire de Reda constitue le premier maillon de la cha?ne qu?il faut enrichir et renforcer. Nous avons d?cid? de nous engager pour que le Maroc compte parmi les pays qui agissent pour pr?venir le suicide des jeunes??. Et de pr?ciser, ??le suicide est la premi?re cause de mortalit? chez les jeunes dans le monde apr?s les accidents de la route??.
Cr?? ? la suite du suicide de son fils, l?association de Meryeme Bouzidi Laraki soutient depuis 6 ans, les enfants et les adolescents en souffrance et tente de les aider ? retrouver confiance en eux. Elle estime qu?aujourd?hui ??il n?y a pas une semaine sans que l?on apprenne le suicide d?un jeune et cela doit ?tre suffisant pour nous mobiliser, tous??.
Plus d?informations sur :?
www.sourire2reda.org