La visite de M. Stéphan Di Mistura à nos provinces sahariennes devrait l’impacter positivement. Il devrait garder dans sa plus intime conviction qu’il a rencontré les authentiques représentants des populations sahraouies. 

M. Di Mistura est appelé à comparer honnêtement la vie des Sahraouis chez eux au Sahara marocain et la misère ou plutôt la « non vie » où sont internés les séquestrés dans les camps de Tindouf.

L’Algérie a dépensé à profusion des dizaines, pour ne pas dire centaines, de milliards de dollars pour sa progéniture « le polisario » et a reçu des dizaines d’autres milliards sous forme d’aide internationale. Cependant, ces quelques milliers de pauvres gens (non Sahraouis et Sahraouis) qu’elle présente comme réfugiés n’ont ni sanitaires, ni eau potable, ni électricité, exposés aux  dures intempéries du désert dans des tentes et baraques, une lamentable situation qui interpelle la conscience internationale !

M. Di Mistura devrait témoigner dans son rapport au Secrétaire général de l’ONU et au Conseil de Sécurité de la réalité quotidienne dans les provinces récupérées et relever que les authentiques représentants des Sahraouis, qui vivent dans ces provinces sahariennes du Maroc mènent une vie meilleure que les habitants de certains pays indépendants en Amérique Latine, en Asie et en Afrique. 

Laayoune et Dakhla n’ont rien à envier à certaines belles villes européennes. 

Nous attendons au Maroc que M. Di Mistura exprime fort et haut la réalité de l’exercice réel et direct de l’administration des provinces sahariennes par les Sahraouis et qu’ils y jouissent de la liberté totale des droits de citoyenneté qu’offre la constitution du Royaume du Maroc, et que finisse cette courtoisie onusienne avec l’Algérie

Laayoune le 6 Septembre 2023