Une kyrielle de l’élite de Marrakech, composé de  personnalités représentant les différentes catégories socio-professionnelles de la ville,  de son univers politique et intellectuel ont organisé une fête samedi soir au Musée de l’eau, en prose, en poésie en chants et délicieuse gastronomie comme seuls les Marrakchis savent en faire, pour rendre hommage à l’un des leurs qui a marqué, durant ces dernières quarante années depuis la cité ocre, le presse marocaine. Correspondant de presse polyvalent comme savent l’être ceux qui sont venus à ce métier par vocation et par amour, après avoir tâté au métier d’enseignant, Mohamed Jihoui a su donner à son statut de chef de bureau régional une dimension nationale, voire internationale. 

« Béni soit ce moment de partage qui reflète l’expression de notre attachement à cette ville et notre détermination d’œuvrer à son développement sportif, culturel et touristique, écrit dans un opuscule qui lui est consacré, le collectif d’amis Marrakchis au doyen des journalistes de Marrakech.   

« En organisant ce rassemblement, indique le collectif, nous avons voulu rendre Hommage à quelqu’un, en l’occurrence Haj Mohamed JHIOUI, en guise de reconnaissance pour l’ensemble des articles de presse les uns pour dénoncer des torts, les autres pour féliciter et encourager les bonnes volontés quand il ne s’agit pas d’alerter l’opinion publique en vue d’anticiper et d’éviter d’éventuels échecs. 

« C’est donc la cérémonie d’une reconnaissance qui cristallise un précepte de notre culture islamique et qui s’inscrit dans le quotidien vécu des marocains et partant des marrakchis. 

 En écho à cet hommage, Mohamed Jhioui se déclare « à la fois profondément ému et comblé  par cette sympathique cérémonie dédiée à ma modeste personne. Il s’agit, dit-il, d’un geste qui témoigne d’une reconnaissance non seulement de la qualité professionnelle de mes articles de presse mais aussi de l’intérêt que les fidèles lecteurs leur portent d’autant que nos objectifs convergent vers le même point, à savoir le développement de notre environnement physique et immatériel, j’ai cité Marrakech dans la globalité de ses activités avec en fond de toile l’originalité de chacune, du sport au tourisme en passant par les faits divers. 

Pour ses confrères il a un mot que seule sa gentillesse explique tant il ne  doit rien à personne, mais seulement à sa valeur intrinsèque :« Je dois noter que j’ai eu la chance de travailler avec des ténors de la presse écrite qui cultivent l’investigation et la quête de l’information à l’instar de feu Mohamed IDRISSI KAITONI, Khalid JEMAI, Jamal HAJJAM, Naim KAMAL, Ahmed SADRATI et tout récemment Majd ATOUABI, je les remercie pour leur soutien. 

« Je reviens à cette cérémonie chaleureuse et conviviale qui nous réunit en ce jour du 14 décembre 2019 pour remercier vivement tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à son succès avec une mention particulière au comité d’organisation qui l’a initiée et conçue, persuadé que nous partageons ensemble ces valeurs de bonne citoyenneté et de constant militantisme au service de notre cité et par voie de conséquence de notre pays. 

Vive Marrakech, vive le Maroc. Vive sa Majesté le Roi Mohammed VI. »